VEF Blog

Petit dîner sympa entre amis.

De G à D : Tanya, moi, Alain et Iby. 

Jeudi dernier à la maison.

Le cercle des intimes réuni autour d'un fameux repas et de quelques bonnes bouteilles.

Au menu :

A l'apéro, Hypocras du Puy - saucisson de Hte-Loire (de la "réserve spéciale" de mes parents) et saucisson de sanglier de Catalogne (tiré du colis envoyé par les parents de Yo).

Jambon cru et foie gras (tirés du même colis que ci-dessus)

Anchoïade de Collioure préparée par Philippe (anchois de Collioure dessalés puis marinés dans l'huile d'olive + ail et persil, tomates, olives noires, poivrons rouges, oignons blancs, oeufs durs).

Fromages de pays du marché du Puy (dont le célèbre "fromage de la blonde" qui doit son appellation à la charmante dame à qui Philippe achète des fromages, des vrais, de ceux dont on dit qu'ils ne sont pas pour les nains de jardin...)

Mousse au chocolat "de Sophie", un délice....

Café et verrines de Tiramisu, spécialité de Tanya, et, là encore, une merveille !

Ce fameux repas était, bien évidemment, accompagné d'excellents vins choisis  avec amour par Yo, Alain, Iby et Philippe.

L'ambiance était sans surprise, c'est à dire franchement détendue et très chaleureuse. Avec des convives triés sur le volet -ne manquait que Brigitte en déplacement en métropole- et une maison toujours aussi agréable -tous ceux qui y viennent le disent, y'a pas que nous !- d'autant plus accueillante en cette période de sècheresse et de grosse chaleur.

Seul "bémol" : on a trop bu et trop mangé et le lendemain, vendredi, le réveil de chacun a été un peu difficile...

Gwen, de dos, était en verve ce soir-là et personne n'a été épargné...

De G à D : Janie, Yo, Sophie et Tanya.

Alain, Iby et Gwen.

Alain, d'abord très réticent à goûter l'Hypocras -il ne jure que par le rhum !- s'est trouvé agréablement surpris et a fait grand honneur à ce breuvage Ponot.

L'Hypocras est un vin épicé, rouge ou blanc, que l'on boit surtout pendant les Fêtes du Roi de l'Oiseau, mi septembre, au Puy en Velay.

Un crapaud égaré dans notre chambre et effrayé par l'attitude pour le moins hostile de Mélusine.

Après avoir séparé, non sans mal, les deux individus et après que notre ami batracien ait repris ses esprits une petite heure sous notre lit, il a regagné le calme de sa forêt.